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et des produits japonais

Non loin de la basilique Saint-Sernin, en plein centre de Toulouse, Niji propose des mochi vendus sous sa propre marque. Ouverte depuis 2022, la boutique propose 18 saveurs (fraise, chocolat blanc, yuzu, tiramisu…) et trois versions véganes. Le mochi à l’anko est à 3,70 €, ce qui n’est pas du tout exagéré vu la taille de ces friandises de style japonais fabriquées à Barcelone et dans les Alpes. Niji les propose aussi aux restaurateurs qui peuvent personnaliser leur commande en sollicitant la création d’une saveur exclusive.

L’histoire débute dans un petit atelier situé à Barcelone où Agnesa Novitchi, qui adore les daifuku, cherche « l’union parfaite » entre l’enveloppe de pâte de riz (mochi) et la garniture de haricot rouge azuki (anko) ou sa variante : une crème de lait montée en mousse. En 2015, elle fonde son entreprise qu’elle baptise Niji (arc-en-ciel). L’atelier du 141 calle Vallespir à Barcelone devient ainsi le premier magasin officiel de l’entreprise en mai 2018, avant de s’installer dans deux autres quartiers de la capitale catalane. Il existe aujourd’hui des boutiques à Madrid, Murcie, Valence et Sant Cugat del Vallès, en Andorre. Mais aussi deux au Portugal (Lisbonne et Amadora), et une en Roumanie (Bucarest). La prochaine devrait ouvrir aux Pays-Bas, avant d’autres en Europe et dans le monde. La première boutique Niji a ouvert à Paris fin mai 2023.

La vente en ligne est accessible pour les non toulousains et non parisiens. Les boutiques Niji n’ont rien de japonais, ni d’espagnol. Leur décor est plutôt « glacial », ce qui ne choque pas en période hivernale et doit être agréable l’été. Le principal étant que les mochi ne soient pas glacés, mais doux et moelleux. Une façon plaisante et assez bon marché de combler un petit creux en pleine journée. Pas de dégustation sur place. Uniquement à emporter.